admin – baronvonraschke.com http://www.baronvonraschke.com Le sport dans le sang Mon, 22 Sep 2025 18:19:53 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 http://www.baronvonraschke.com/wp-content/uploads/2025/05/cropped-gym-logo-32x32.png admin – baronvonraschke.com http://www.baronvonraschke.com 32 32 Montres connectées sportives : laquelle tient vraiment la distance ? http://www.baronvonraschke.com/montres-connectees-sportives-laquelle-tient-vraiment-la-distance/ http://www.baronvonraschke.com/montres-connectees-sportives-laquelle-tient-vraiment-la-distance/#respond Mon, 22 Sep 2025 16:40:57 +0000 http://www.baronvonraschke.com/montres-connectees-sportives-laquelle-tient-vraiment-la-distance/ Franchement, aujourd’hui, difficile d’imaginer une sortie running ou une séance de vélo sans une montre connectée au poignet. Entre le suivi du cardio, le GPS, les données de sommeil et même les petits rappels pour boire de l’eau, ces gadgets sont devenus de vrais compagnons de sport. Mais la vraie question, c’est : laquelle arrive à suivre quand on parle d’endurance, de batterie et de fiabilité sur le long terme ? Parce qu’on a tous connu la galère de la montre qui lâche à la moitié d’un marathon…

Perso, je me suis retrouvé une fois sur un trail en Corrèze, au milieu des bois, avec ma montre qui me claque entre les doigts après 5h. Autant dire que j’ai fini à l’ancienne, en regardant le soleil pour deviner l’heure… Et je sais que je ne suis pas le seul. Pour éviter ça, certains sites et pros du sport partagent leurs retours concrets, comme sur [https://professionsports16.fr](https://professionsports16.fr), et ça vaut le coup de jeter un œil si vous cherchez des conseils fiables pour choisir votre matos.

Garmin, Polar, Coros, Apple Watch : qui s’en sort le mieux ?

Alors soyons clairs : si vous voulez une montre qui tient plus d’une semaine en usage sportif intensif, oubliez directement les Apple Watch. Super pour le quotidien, nickel pour les notifications, mais dès qu’on tape dans l’ultra-trail ou les sorties de plus de 6h, ça fatigue vite. En face, Garmin et Coros jouent dans une autre cour : 20 à 40 heures d’autonomie GPS, parfois plus. J’ai vu une Coros tenir une diagonale des fous sans broncher, ça impose le respect. Polar reste entre les deux, fiable, simple, mais un peu moins endurante.

Autonomie… mais pas que !

La batterie, c’est une chose. Mais franchement, une montre qui se perd en forêt, ça ne sert pas à grand-chose. Et là, Garmin domine, surtout avec la précision GPS multi-bandes. En trail, ça change tout : pas de zigzag chelou sur la carte, pas de kilométrage qui saute. J’ai eu des copains avec des Apple Watch qui affichaient 18 km quand on en avait fait 22… ça pique.

Et côté confort, ça donne quoi ?

On oublie souvent de parler du poids et du bracelet. Pourtant, sur une sortie longue, ça peut vite agacer. Les modèles légers comme la Coros Pace 3 (à peine 30 grammes !) se font carrément oublier. À l’inverse, une Garmin Fenix, c’est une brique : robuste, complète, mais au bout de 4 heures, on la sent bien sur le poignet. Là, c’est une question de goût… et de tolérance.

Alors, laquelle choisir ?

Si vous êtes un coureur urbain, qui fait 2 à 3 sorties par semaine, l’Apple Watch peut suffire. Mais si vous visez l’ultra, les trails en montagne ou les triathlons costauds, il vaut mieux taper dans Garmin ou Coros. Polar reste une valeur sûre pour ceux qui veulent un bon compromis simplicité/prix/performance.

En vrai, il n’y a pas de montre parfaite. La vraie question à se poser, c’est : *qu’est-ce que vous voulez faire avec ?* Et si votre montre lâche en plein effort, est-ce que ça vous ruine la sortie ou pas ? Parce que pour certains, perdre les données, c’est pire qu’une crampe…

Bref, la distance, ce n’est pas qu’une histoire de kilomètres. C’est aussi une question de fiabilité, de confiance et de plaisir. Et ça, aucune fiche technique ne pourra le mesurer à votre place.

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Comment bien régler son vélo pour éviter les douleurs et gagner en performance http://www.baronvonraschke.com/comment-bien-regler-son-velo-pour-eviter-les-douleurs-et-gagner-en-performance/ http://www.baronvonraschke.com/comment-bien-regler-son-velo-pour-eviter-les-douleurs-et-gagner-en-performance/#respond Wed, 10 Sep 2025 12:14:08 +0000 http://www.baronvonraschke.com/comment-bien-regler-son-velo-pour-eviter-les-douleurs-et-gagner-en-performance/ Tu t’es déjà retrouvé avec un mal de genou après une sortie vélo un peu trop longue ? Ou cette petite douleur dans le bas du dos qui gâche la fin de la sortie ? Franchement, dans 90 % des cas, ça vient d’un mauvais réglage du vélo. Et crois-moi, rouler sur un vélo mal ajusté, c’est comme courir avec des chaussures trop petites : tu finis toujours par le payer.

Le truc, c’est que régler son vélo, ce n’est pas seulement une question de confort. C’est aussi une manière directe de gagner en efficacité. Moins de perte d’énergie, plus de puissance, et surtout, moins de blessures. Si tu veux creuser plus loin côté matos et conseils, je te conseille d’aller jeter un œil à https://www.mon-beau-velo.fr, c’est une mine d’infos bien pratiques.

La hauteur de selle : la base de la base

C’est LE réglage numéro un. Trop basse, tu flingues tes genoux. Trop haute, tu te tords le bassin et tu perds en puissance. La règle simple : quand ta pédale est en bas, ta jambe doit être quasiment tendue, mais avec une petite flexion (5 à 10°). Moi, j’ai galéré des mois avant de trouver le bon réglage… et le jour où j’ai monté ma selle d’1,5 cm, j’ai gagné direct en confort.

Recul de selle : trouver ton équilibre

Tu vois ce petit détail qui change tout ? Place ta manivelle à l’horizontale. Ton genou doit être pile au-dessus de l’axe de la pédale. Si tu es trop en arrière, tu perds de la puissance. Trop en avant, tu stresses tes genoux. C’est subtil, mais ça se ressent dès la première montée.

La position du cintre : confort des épaules et du dos

Un cintre trop bas et tu finis cassé en deux. Trop haut, tu pédales “à la cool”, mais tu perds en aéro et en rendement. Perso, j’aime bien avoir les poignées un peu en dessous de la selle, ça me permet d’être à la fois posé et efficace. Et toi, tu préfères le confort ou la perf ?

La longueur de la potence : un détail qui pèse lourd

Si tu tends trop les bras, tu vas te choper des douleurs dans les trapèzes. Si au contraire tu es trop ramassé, tu manques de stabilité. L’idéal, c’est quand tu poses les mains sur le cintre et que tes coudes restent légèrement fléchis, sans forcer.

Quelques astuces en plus

  • Teste tes réglages sur plusieurs sorties, pas seulement dans ton garage.
  • Note tes ajustements (hauteur de selle, recul, etc.), ça évite de repartir de zéro si tu changes de vélo.
  • Écoute ton corps : si une douleur revient toujours, c’est qu’il y a un réglage à revoir.

En résumé

Un vélo bien réglé, c’est la différence entre souffrir et prendre du plaisir. Et pas besoin d’être pro pour y arriver : quelques ajustements bien pensés suffisent. Alors, avant ta prochaine sortie, prends dix minutes pour checker ta selle, ton cintre et ta potence. Tu verras, ça change la vie.

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Chaussures de trail 2025 : les modèles vraiment taillés pour les terrains techniques http://www.baronvonraschke.com/chaussures-de-trail-2025-les-modeles-vraiment-tailles-pour-les-terrains-techniques/ http://www.baronvonraschke.com/chaussures-de-trail-2025-les-modeles-vraiment-tailles-pour-les-terrains-techniques/#respond Wed, 10 Sep 2025 07:53:07 +0000 http://www.baronvonraschke.com/chaussures-de-trail-2025-les-modeles-vraiment-tailles-pour-les-terrains-techniques/ On ne va pas se mentir : trouver la bonne paire de chaussures de trail quand on s’attaque à des sentiers techniques, c’est souvent la galère. Trop rigides, pas assez d’accroche, semelles qui glissent dès que le terrain est humide… Et quand tu arrives au bout de 15 km avec les chevilles en feu, tu regrettes ton choix direct. Alors, pour 2025, j’ai passé en revue les modèles qui tiennent vraiment la route (ou plutôt, la caillasse et la boue) et qui méritent qu’on s’y attarde.

Et si tu veux tester ces paires sur du vrai terrain, rien de mieux que des spots comme ceux qu’on trouve en Isère. Les montées sèches, les descentes casse-pattes, les racines qui t’attendent au tournant… Bref, le terrain parfait pour juger. D’ailleurs, je te conseille de jeter un œil à https://isere-sport-nature.fr : ça donne pas mal d’idées pour sortir des sentiers battus et tester ton matos.

Ce qu’on attend d’une bonne chaussure de trail technique

Avant de balancer des noms, soyons clairs : une chaussure taillée pour le technique, c’est pas juste une basket “un peu renforcée”. Non, il faut du grip solide, un maintien qui t’évite de tordre la cheville au premier pierrier, et une semelle intermédiaire capable d’absorber les chocs répétés. Perso, j’aime aussi quand la toe box (l’avant du pied) laisse un peu d’espace : après 20 bornes dans les D+ raides, les orteils gonflent et si c’est trop serré, c’est l’enfer.

Les modèles 2025 qui sortent vraiment du lot

Salomon S/Lab Genesis 2 : Salomon, ça reste une référence. La nouvelle Genesis 2 a gagné en souplesse sans perdre l’accroche de malade sur terrain humide. J’ai testé sur un single boueux après une averse : aucun décrochage, c’est rassurant.

La Sportiva Jackal II Boa : un vrai coup de cœur. Le système Boa, je pensais que c’était gadget, mais franchement, l’ajustement millimétré en descente, ça change tout. Sur terrain rocheux, ça tient serré sans points de pression. Et la semelle Vibram, toujours au top.

Hoka Speedgoat 6 : Hoka a enfin corrigé le défaut majeur des versions précédentes : la stabilité. Avec un profil plus bas et une meilleure accroche, cette version est beaucoup plus rassurante en dévers. Et pour ceux qui aiment le confort moelleux, ça reste une pantoufle.

Inov-8 Roclite Ultra 325 : plus confidentielle, mais si tu cherches une paire légère et nerveuse, c’est celle-ci. Elle accroche bien même sur terrain mixte, et le drop faible donne une vraie sensation de précision sous le pied. Par contre, attention, elle pardonne moins les erreurs.

Comment choisir en fonction de ton terrain

Tu cours surtout en montagne, avec des cailloux et du dénivelé ? Vise Salomon ou La Sportiva, ça reste les plus costauds pour ça. Plutôt forêt humide et racines glissantes ? Les Inov-8 feront le taf avec leur semelle plus agressive. Et si ton truc, c’est le long, très long (type ultra), Hoka reste imbattable en confort.

Conclusion : mieux vaut investir que souffrir

Une bonne paire de chaussures de trail, c’est pas juste du confort, c’est aussi de la sécurité. Sur du technique, une semelle qui glisse peut vite finir en chute. Alors oui, les modèles 2025 les plus solides tapent souvent entre 150 et 200 euros. Mais franchement, mieux vaut mettre ce prix que d’abandonner une course parce que t’as mal aux pieds dès le 10e kilomètre. Et toi, t’as déjà trouvé ta paire idéale pour les terrains techniques ?

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Pourquoi la marche rapide cartonne (et comment s’y mettre efficacement) http://www.baronvonraschke.com/pourquoi-la-marche-rapide-cartonne-et-comment-sy-mettre-efficacement/ http://www.baronvonraschke.com/pourquoi-la-marche-rapide-cartonne-et-comment-sy-mettre-efficacement/#respond Fri, 11 Jul 2025 12:12:33 +0000 http://www.baronvonraschke.com/pourquoi-la-marche-rapide-cartonne-et-comment-sy-mettre-efficacement/ Franchement, qui aurait parié là-dessus ? La marche rapide, ce sport qu’on associait encore il y a quelques années aux retraités en survêt et aux champions d’hippodrome en collant fluo… est en train de devenir la nouvelle coqueluche du fitness urbain. Et pas juste un petit engouement passager. Non, une vraie tendance de fond.

Partout en France, des groupes se forment, des applis fleurissent, et même les grandes marques s’y mettent. À Paris, sur les quais, à Lyon au parc de la Tête d’Or, à Bordeaux sur les quais des Chartrons… tu croises de plus en plus de gens en mode “marche rapide”, concentrés, bras bien gainés, foulée dynamique. Si tu veux creuser un peu plus sur cette tendance outdoor et ce que propose la rando au sens large, tu peux jeter un œil à cette ressource bien fichue : https://www.sportsnature.org. C’est clair, la marche rapide a le vent en poupe.

Mais pourquoi ça plaît autant, au fond ?

Déjà parce que c’est accessible. Pas besoin de matos à 800 balles, pas besoin de niveau olympique, pas besoin d’aller à la salle. T’as une paire de baskets correctes ? C’est bon. Et surtout : *ça marche*. Littéralement. Tu veux brûler des calories sans ruiner tes genoux ? Améliorer ton cardio sans t’asphyxier au bout de trois minutes ? Retrouver un peu de forme sans te dégoûter du sport au bout de deux séances ? La marche rapide, c’est pile dans ce créneau-là.

Et puis c’est ultra modulable. Tu peux en faire seul(e) avec un podcast dans les oreilles, en groupe avec une ambiance bonne franquette, ou même en duo en mode papotage (oui oui, même en transpirant un peu). Tu choisis ton terrain de jeu : ville, forêt, bord de mer, tour du quartier… Ça tient dans un créneau de 30 minutes comme dans une rando de 10 bornes. Pratique, non ?

Comment s’y mettre sans faire n’importe quoi ?

Ok, c’est simple, mais pas n’importe comment non plus. Pour que ce soit vraiment efficace – et que tu ne te retrouves pas avec une tendinite au tibial antérieur (oui, ça existe) – y’a deux-trois trucs à savoir.

1. Choisis de bonnes chaussures. Pas forcément des running avec amorti XXL, mais des chaussures souples, légères, avec une bonne accroche. Certaines marques font des modèles spécifiques “marche sportive”. Le plus important : le confort. Essaie-les. Marche avec. Si ça frotte dès le début, oublie.

2. La posture, c’est la base. Redresse-toi, regard droit devant, épaules relâchées. Et surtout : utilise tes bras. Fléchis-les à 90°, balance-les naturellement d’avant en arrière. Ça booste ton rythme et ça stabilise ton corps. Ça peut paraître bizarre au début, mais tu vas voir, on s’y fait vite.

3. Commence tranquille, mais régulier. Vise deux ou trois séances par semaine de 30 à 45 minutes. L’idée, c’est de pouvoir parler en marchant… mais pas chanter. Si t’es essoufflé comme après un sprint, t’es allé trop fort. Ralentis. Ce n’est pas une course, c’est une progression.

Et au bout de quelques semaines…

…tu vas sentir la différence. Meilleure énergie, jambes plus toniques, souffle plus stable, dos moins douloureux. Même le moral suit. Y’a un côté méditatif à marcher vite, tu verras. Perso, après 20 minutes, j’ai souvent des idées qui me viennent, des décisions que je prends plus clairement. Et j’ai remarqué aussi : mon sommeil est meilleur les soirs où j’ai marché. C’est pas une science exacte, mais franchement… coïncidence ?

Alors, tenté ?

Si t’hésites encore, dis-toi ça : c’est peut-être le sport le plus sous-coté du moment. Pas tape-à-l’œil, pas spectaculaire… mais diablement efficace. Et agréable. Et simple. Et gratuit. Bref, c’est rare un combo comme ça.

Allez, la prochaine fois que tu vois un groupe de gens marcher vite avec détermination, ne te moque pas : rejoins-les. Ou trace ta route solo, mais essaie. Sérieusement, essaye.

Tu risques d’être surpris.

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Top 9 des erreurs à éviter absolument quand tu débutes la musculation http://www.baronvonraschke.com/top-9-des-erreurs-a-eviter-absolument-quand-tu-debutes-la-musculation/ http://www.baronvonraschke.com/top-9-des-erreurs-a-eviter-absolument-quand-tu-debutes-la-musculation/#respond Tue, 27 May 2025 12:38:39 +0000 http://www.baronvonraschke.com/2025/05/27/top-9-des-erreurs-a-eviter-absolument-quand-tu-debutes-la-musculation/ Tu t’es enfin décidé à te mettre à la muscu ? Bravo. Vraiment. Mais attention : la salle, c’est un peu comme la jungle. Si t’y vas sans boussole, tu peux vite te perdre… ou te faire mal. Alors autant éviter les pièges les plus courants dès le départ.

Voici les 9 erreurs que je vois tout le temps chez les débutants (et que j’ai moi-même faites, pour être honnête).

1. Vouloir tout faire, tout de suite

Le classique. T’es motivé, t’as maté trois vidéos YouTube et tu veux tout soulever, tout tester. Résultat : tu fais 1h45 de full body avec zéro récup, des mouvements bâclés et des courbatures de l’espace pendant 4 jours.

*Commence simple, avec 2 à 3 séances par semaine.* Bosse les bases. Le corps a besoin d’adaptation, pas d’un choc frontal.

2. Négliger la technique (parce que « je soulève lourd »)

Oui, c’est tentant de charger la barre pour impressionner. Sauf qu’un squat mal fait, c’est un aller simple pour le kiné. Franchement, j’ai vu des mecs se flinguer le dos sur des développés couchés à 60kg, juste parce qu’ils n’avaient pas calé leurs omoplates.

*Prends le temps d’apprendre les bons gestes.* Tu gagneras du temps sur le long terme. Et t’éviteras les blessures débiles.

3. Changer de programme toutes les deux semaines

« Je vais tester ce programme bras sur TikTok », « Tiens, un nouveau split sur Insta »… Stop. Ton corps a besoin de repères pour progresser. Si tu changes tout le temps, il comprend rien. Toi non plus d’ailleurs.

*Garde une structure claire pendant au moins 6 à 8 semaines.* Après, tu pourras ajuster. Mais la constance, c’est ce qui fait la différence.

4. Zapper l’échauffement (parce que « j’ai pas le temps »)

Ça, c’est LE piège. T’arrives, tu veux direct pousser de la fonte, sans préchauffer le moteur. Mauvaise idée. T’as déjà essayé de démarrer une voiture gelée sans la chauffer ? Ben voilà.

*Un bon échauffement, c’est 10 minutes de mobilité et d’activation.* Et crois-moi, ça change tout. Tu sens mieux tes muscles, tu réduis les risques, tu perfs mieux.

5. Copier les pros… alors que t’es débutant

On a tous regardé des vidéos de bodybuilders. Mais non, tu ne dois pas t’entraîner comme un mec qui a 10 ans de salle dans les jambes, un coach perso et des compléments chelous.

*Commence avec des exos polyarticulaires simples.* Pas besoin de curl marteau assis incliné unilatéral en super set avec élévations frontales. Sérieux.

6. Oublier la récup (et penser que plus = mieux)

Y’a une obsession de l’intensité. Certains enchaînent 5 séances en 6 jours, sans pause, sans sommeil. Résultat : fatigue, stagnation, parfois même perte de muscle. Le corps a besoin de repos pour construire.

*Le sommeil, la bouffe et les jours off font partie de l’entraînement.* Si tu les zappes, t’avances pas. C’est aussi simple que ça.

7. Manger n’importe comment

Tu crois que faire de la muscu suffit ? Nope. Sans une base alimentaire correcte, tu construis rien. Et je dis pas de tout peser au gramme près. Mais si tu t’entraînes sérieux et que tu bouffes que des pâtes au ketchup… tu vas vite plafonner.

*Pense à tes apports en protéines, à répartir tes repas, à boire suffisamment.* Et arrête de sauter le petit-déj. Vraiment.

8. S’entraîner sans objectif clair

« Je veux prendre du muscle… et perdre du gras… et avoir des abdos… et soulever plus… ». Ouais, c’est un peu flou tout ça. Et ça donne un programme flou, donc des résultats… flous.

*Pose-toi une question simple : qu’est-ce que je veux vraiment ?* Ensuite, construis ton plan autour de ça. Sinon tu t’éparpilles.

9. Se comparer aux autres

Ça peut flinguer ta motivation en deux-deux. Tu vois un gars soulever 100kg pendant que toi t’en es à 30, et tu te sens nul. Mais tu connais pas son parcours, son âge, sa génétique. Et puis, c’est pas une compète.

*Fais ton truc, à ton rythme.* La vraie progression, c’est celle que tu ressens toi, pas celle des autres.

 

Conclusion ? La muscu, c’est simple en vrai. Mais faut éviter les pièges de départ. Sois régulier, écoute ton corps, reste humble… et surtout : kiffe. Parce que ouais, c’est dur parfois, mais c’est tellement gratifiant.

Alors, t’es prêt à t’entraîner autrement ?

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